Lorsqu’un plombier de Melun met au point une installation simplissime et la met à disposition pour que tout le monde puisse la faire installer chez soi. En tentant de rentrer en contact avec l’Élysée pour faire généraliser son système dans les habitations : c’est que le dispositif est d’un intérêt majeur et fait réellement économiser des ressources naturelles.
D’une simple idée à l’Élysée : réinjecter l’eau de pluie dans sa plomberie
En récupérant l’eau de pluie pour la réinjecter chez soi : il est possible de réaliser d’incroyables économies en faisant radicalement baisser et de vite rentabiliser l’installation.
Il faut savoir que le cadre légal ne permet pas de se resservir de l’eau de pluie pour l’eau potable, avec les risques que l’eau descendant des toitures soit chargée en substances néfastes pour l’organisme.
Passé cette règle stricte, rien n’interdit de se resservir de pluie récupérée pour la réinjecter pour alimenter la chasse de ses WC : car bien souvent, c’est 9 litres d’eau potable gaspillée qui partent à chaque fois dans nos toilettes… Avec une installation digne de ce nom, il sera possible de récupérer l’eau de pluie, de la nettoyer, de la stocker et de la réinjecter dans sa plomberie :
- Avec un bon plombier, pour une installation coûtant entre 500 et 1 000 €.
- De la tuyauterie (comprise dans le prix, si réalisé par un plombier).
- Une ou plusieurs cuves de stockage jusqu’à 1 500 litres.
- Un système de filtration optimal.
- Un surpresseur – pièce maîtresse pour renvoyer l’eau dans sa plomberie existante : d’ailleurs, à ce propos, vous pourrez trouver les meilleurs surpresseurs en allant sur le site de ces spécialistes de la pompe à eau et assimilés.
Il sera ainsi possible de faire jusqu’à 70 % d’économies ! On comprend ainsi mieux l’intérêt qu’il tente de susciter jusqu’au plus haut point de l’Élysée (en étant contacté par des pays comme le Canada, l’Australie…).
Car si ce genre de dispositif venait à se généraliser sur le territoire français : son impact serait incroyable, notamment sur notre environnement et son impact écologique sur nos ressources en eau. Une avancée majeure pour la nature, pour réduire ses factures et ne plus gaspiller outre mesure.
Des réserves en eau mises à rude épreuve l’été dernier et dans les années à venir
Il faut déjà savoir que :
- 20 % de l’eau puisée en France n’arrive pas à cause de l’état de certaines canalisations – 50 % au niveau mondial !
- 60 % est utilisée par les agriculteurs pour l’irrigation – dont quasi 80 % en été ! Et la filière consommant 68 % de l’eau dans l’hexagone à elle seule.
- 50 % de ces ressources naturelles sont utilisées pour le maïs
- 20 à 60 % de l’eau entrant dans les retenues d’eau se perdent en évaporation, ne profitant pas aux particuliers, mais uniquement aux professionnels et un assèchement des sols.
- Des prévisions pas forcément optimistes sur les prochains étés, la sécheresse et nos réserves en eau.
Avec de tels chiffres, une situation alarmiste et des inventions comme celles de ce plombier : un rééquilibre pourrait tenter de s’opérer en agissant dès maintenant.